Théo Millet
Nom : Millet
Prénom(s) : Théo
Age : 21 ans
Sexe : homme
Nationalité : Française
Pays habité : Etats-Unis
Ville habitée : Valencia / Californie
Profession : Etudiant en photographie
Situation familiale : Famille restée en France. Pas en très bon terme avec ces derniers. Un peu renié pour diverses raisons. Père, ministre des armées, mère décédée et un petit frère en étude politique sur les traces de son paternel.
Situation conjugale : Celibataire
Situation financière : Aisé (bien qu'il ai du faire un gros prêt, son père refusant de lui payer ses études.)
Orientation sexuelle : Homosexuelle
Langues : Français (maternelle) - Anglais (+ de 900 points au Toeic) - apprentissage bilingue ( étant à l’étranger depuis presque 2 ans)
Statistiques 360 points à répartirForce : 20 Intelligence : 50 Dextérité : 60 Charisme : 30 | Constitution : 50 Sagesse : 40 Perception : 60 Chance : 50 |
Compétences :
Je laisse au staff le soin de choisir les compétences de mon personnage :D Malus :
Pareil ici ! Inventaire :
Appareil photo Retro Instant.
Téléphone portable. Digimon : Botamon
Mode challenge : Oui
Physique
Taille : 1m72
Teint : Pâle
Cheveux : Brun
Yeux : Foncés, Marron/noirs
Particularité : Généralement la tête enfoncée dans ses épaules. Cheveux ébouriffés
Caractère
Socialement, Théo est plutôt du genre mal à l'aise. Il manque cruellement de confiances en lui et a une faible estime de soi. C'est un jeune homme maladroit stressé et nerveux dans la vie qui parle gauchement et parfois trop vite. Il bégaye souvent, perds ses mots et s'emporte rapidement. Sa façon d'échanger avec des inconnues se résume à expliquer les choses avec des mots tels que « truc, machin bidule chouette » et des petits gestes timides, tout en évitant de regarder dans les yeux ses interlocuteurs. Au fond, c'est un jeune homme profondément sensible qui malgré ses difficultés à communiquer avec les autres n'a jamais cessé - de temps à autre- d'essayer. À ce jour, Théo n'a réussi à se lier d'amitié qu'avec une poignée de personnes. Il n'est pas de ceux qui ont 687 amis sur Facebook, ni de ceux qui s'affichent sur instagram. Pourtant, c'est un petit geek de la photo. Et tant bien même beaucoup opteraient pour la facilité de lui imposer le statut de fils à papa aux vues de son acceptation dans l'une des écoles des photographies les plus prestigieuses du monde, Theo est en réalité vraiment doué dans ce qu'il fait. Même s'il est assez introverti et légèrement gêné quand il s'agit de montrer son talent. Mais selon lui, Théo aime plutôt observer le monde qui l'entoure au travers de son objectif plutôt que d'y participer. Au final c'est un tout, il est là, il laisse une petite trace de son passage dans ce monde tout en restant à une distance raisonnable.
En tout cas, c'est un gars sensible aux remarques, au point qu'il peut se frustrer facilement ou de ne pas savoir retenir ses émotions. On peut donc dire que Théo a la larme facile, mais fait toujours de son possible pour les retenir en reniflements bruyant. Clairement Théo a un petit complexe d’infériorité qui a tendance à le rendre pessimiste dès lors que quelqu'un lui fait remarquer ses faiblesses, qu'il prend pour des critiques personnelles. Et c'est sûrement à cause de ce complexe-là que le jeune homme cherche constamment approbation envers ses paires. En plus de ça, il a peur d'être oublié, d'être abandonné. Il a peur qu'on le rejette constamment et pour cause, il essaye de garder ses amis toujours au plus proche, n’hésitant pas a faire passer ces derniers avant ses propres désires. N'ayant, malgré toute cette anxiété, aucun mal à accepter son propre sacrifice pour le bien d'autrui.
ne sait pas nager ▬ tendre ▬ gentil ▬ nerveux ▬ loyal ▬ jaloux ▬ maladroit ▬ brouillon ▬ ne sait pas s'imposer ▬ naïf ▬ romantique ▬ artiste ▬ hésitant ▬ ouvert d'esprit ▬ timide ▬ naturel ▬ mignon ▬ calme ▬ facilement gêné ▬ attachant ▬ quand il prend des photos il est dans son monde ▬ passionné ▬ poli ▬ complexé ▬ rêveur ▬ passif ▬ un peu têtu ▬ modeste ▬ intuitif ▬ émotif ▬ discret
Histoire
On pourrait se dire que c'est facile d'être le fils d'un ministre. Qu'on a la belle vie. Qu'on ne manque de rien, que même sa compote pour bébé à un goût de luxe comparé aux autres. Naître une cuillère d'argent dans la bouche entre autres. Mais il y a dans chaque foyer son petits lots de problèmes et le tien n'échappe pas à cette règle.
Autant partir sur de bonnes bases ; tu n'étais pas désiré. Ô pas par ta mère, pensez-vous. Elle, elle était toute prête à t’accueillir. Elle n'attendait que ça. Elle n'attendait que toi. Son petit premier, son petit ange, son doux et tendre fils. C'était un rêve de gamine qui commençait, un rêve un peu princesse certes, mais un rêve tout de même. C'est qu'elle s'était mariée à plus riche qu'elle en plus. Elle s'était sentie un peu comme Cendrillon. Elle ne savait pas vraiment ce qu'il lui trouvait son futur mari, cet homme aux grandes manières et aux vocabulaires fleuris, mais quand l'amour, le vrai, vient frapper à votre porte, il n'est pas toujours évident d'y renoncer. Mais parlons-en de lui, de ton père. Il était dans sur les traces de la politique à l'époque, suivant le précédent et laborieux chemin de son père avant lui. Histoire de famille. Il était de ceux qui avançait sans remords dans cette société blafarde et superficielle, de ceux qui jouaient le rôle de requin sans pitié, comme on aime les appeler dans le métier. Il croquait tout sur son passage pour ainsi grimper les échelons de cette jungle sophistiquée. Il ne faiblissait jamais et pour beaucoup, été promis à un grand avenir. Certains le voyez déjà président ! Mais on l'avait tout de même regardé un peu de travers quand son anneau tout doré à l'énorme carra alla entourer l'annulaire de ta mère. C'était pourtant pas le style de ta mère, de porter un si gros bijou. Elle aurait préféré une bague en plastique, dégotée dans un kinder surprise. M'enfin, tu crois surtout que papy et mamie ne s'en sont jamais remis. Pourtant l'âge des nobles et des roturiers était révolu depuis des siècles, mais ça n'empêchait pas les regards moqueurs et les rumeurs de se rependre comme des traînés de poudres. Heureusement pour vous, ton père était un fin stratège et surtout muni d'un charisme des plus bouleversant. Il savait clouer des becs.
Tout ça pour en revenir à une seule chose; ton père ne voulait pas de toi. Lui, il n'était pas prêt. Il ne t'attendait pas. Son petit premier, son héritier, son fort et courageux fils, il le voulait pas maintenant. Manque de temps, manque d’intérêt, appelez ça comme vous voulez. Ton père était un homme occupé et tant bien même il était fou amoureux de ta mère, il n'avait pas de temps à t'accorder. Et pourtant tu étais en route. Au début, ça passait inaperçu. On racontait quelque prise de poids par-ci par-là, mais rien d'alarmant, vraiment. Alors, quand il était déjà trop tard, quand le ventre de ta maman était devenu bien rond, ton père apprit la nouvelle. «Tadaa. Tu vas être papa ! » qu'on lui a jeté au nez. Tu n'étais pas là pour voir sa tête, mais, ça a dû jeter un froid.
Et tu es né, à Paris, dans un hôpital supposément prestigieux d'un arrondissement supposé onéreux. Tu n'as jamais rien compris à ces histoires d'arrondissements... Toi t'es juste là. Couvé par les bras d'une mère aimante, foudroyait du regard par un père qui n'aura que peut de regret à s'absenter, à t'oublier. Même pas né qu'on te jugeait sans réfléchir. Même pas né qu'on te regardait bizarre. Ça devait être un signe du destin. Obligé. Parceque ça continue. Sur des années. Tout ce que tu fais, du plus petit dessin au plus petit bobo sont sujets à remontrances. On te dit que tu es nul, sans talent. Que tu n'arriveras jamais à rien. Ton père, trop têtu pour voir une possible chance de construire quelque chose avec toi te descend constamment. Il ne t'a pas voulu et bien il ne te voudra jamais. Quatre ans plus tard naquit ton petit frère. Lui, visiblement, il était voulu car l'attention portée à ce dernier est tout autre. Ta figure paternelle t'ignore tandis qu'il enlace, bisouille et gazouille tendrement son deuxième fils.
Ça devient quotidien. Ça devient quelque chose d'habituel. Maman t'aime, papa t'ignore, ton frère se moque. Et on recommence. Chaque jour de nouvelles images, chaque jour de nouvelles remarques négatives. Tu aurais pu t'en prendre à ton petit frère. Par jalousie. Le chopper dans un coin et lui refaire le portrait. Lui piquer ses jouets, le faire tomber dans les escaliers. Mais tu n'as jamais eu l'âme d'un méchant. Toi tu étais comme ta mère, un peu naïf, un peu benêt...surtout soumis. Alors tu te taisais. Tu te faisais petit en hochement de tête et de larmes qui rendez fou ton père.
C'est à l'âge de 16 ans, que ta mère décède. Pas de maladie grave et encore moins d’assassinat politique. Non. Elle perd la vie dans un accident de la route. Elle était là au mauvais endroit au mauvais moment. Et boom. Faucher par une voiture qui roulait trop vite. La nouvelle te dévaste. Tu commences à t'enfermer. Tu ne veux plus aller à l'école parcequ'on te taquine, on te montre du doigt. Les gamins sont cons, la société est mal faite, alors quand on t'a surpris à lorgner tes camarades dans les vestiaires, on n'a pas cherché plus loin. Mais ils ont raison et c'est par le jugement, la honte, le malaise, la différence... que tu apprends que tu aimes les garçons. Ça fait mal. Tellement mal. C'est pas comme ça que tu aurais voulu que ça se passe. T'avais envie d'une belle histoire. D'un truc avec des bisous et des câlins. Tu voulais qu'on te juge un peu moins et qu'on t'aime un peu plus. Tu n'as donc plus envie de sortir parce que tu as peur que tout le monde te voit, que tout le monde puisse te lire comme un livre ouvert.
C'est un peu après le bac que tu te découvres une certaine passion et talent pour la photographie. Il t'en aura fallu du temps, pour trouver la chose qui te permettrait de reprendre les rênes de ta vie. Tu fais des efforts. Tu ressors vraiment, tu te payes même quelque voyage ici et là, pour prendre en photo mille et une choses. Tu découvres la France par le seul biais de ton objectif. Pas de règle à suivre, pas de manière de procéder. Tu es libre de tout et tu n'as juste qu'à cliquer pour figer le temps. Un pouvoir sans contrainte que tu apprends à utiliser avec esthétique et génie. Avec l'aide des rares amis en ligne que tu possèdes, tu prends ton courage à deux mains et participe à des concours de photos.
Et c'est le jackpot. À 19 ans tu parviens à taper dans l’œil d'un professeur américain de la Californie Institut of Arts, à Valencia, Californie, venus en France pour des vacances. Il te parle de l'école, de ses avantages, de ses prestiges, de ses ouvertures en matière d'avenir et c'est avec ton anglais tout pété que tu acceptes. Tu en parleras à ton père qui t'enverra bouler gentiment avant de te retourner vers ta banque. Étant fils du ministre des Finances... on n'a pas mis beaucoup de temps à t'accepter cet énorme prêt.
Ça va faire deux ans que tu y es. Tu trouves enfin ta place parmi tes nouveaux amis américains et arrives doucement mais surement à t'épanouir grâce à la photographie. Et c'est alors que tu avais rendez-vous avec ton possible premier amoureux de tous les temps, nerveusement installé sur un banc dans un immense parc où tu disparais de la surface de la terre. Sans laisser la moindre trace.
Derrière l'écran
gecko
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